Un air de famille (1996)
Un film qui fait rire aux éclats et en dit long sur nos travers à tous. Cette adaptation de la pièce de théâtre écrite par Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri (lui-même) nous plonge dans un petit café où chaque vendredi, la famille Ménart se retrouve pour le traditionnel dîner de famille qui vire au règlement de compte. Une écriture singulière et un jeu d’acteur lumineux. Tu ne seras pas déçu d’avoir rencontré cette famille qui ressemble à la tienne plus qu’il n’y paraît.
Le goût des autres (2000)
Une fois de plus nous retrouvons le duo Jaoui-Bacri. Pour la première fois à la mise en scène, Agnès Jaoui dresse une série de portraits à la fois drôles et attachants. Jean-Pierre Bacri interprète à la perfection les stéréotypes d’une société remplie d’humains victimes de préjugés. « Le goût des autres » nous parle de tolérance et d’ouverture à l’autre.
Le sens de la fête (2017)
Jean-Pierre Bacri, éternel râleur au gros cœur de la comédie française contemporaine, ne pouvait qu’enfiler le costume de Max à la perfection. Max, organisateur de mariage depuis 30 ans et légèrement dépassé par les demandes de mariés du XXIème siècle. Cet entrepreneur surbooké va tout faire pour que Pierre et Héléna obtiennent un mariage digne d’un compte de fées. Pas sûr que tout se déroule comme prévu… La sincérité et la simplicité de cette comédie moderne lui a valu 9 nominations aux césars en 2018.
Didier (1997)
Une comédie typique des années 90. Alain Chabat, auteur, réalisateur et acteur principal joue le cabot, aux côtés d'un Jean-Pierre Bacri impérial en râleur cynique. Didier s'inscrit parfaitement dans la culture populaire de son époque, prenant l'univers footballistique comme point de départ d'un récit reposant entièrement sur le comique de situation. Une comédie à la française : cocasse et divertissante.
La cité de la peur (1994)
Le ton du film est posé dès le générique, amenant d'emblée le sourire : « le film de Les Nuls ». Ce film tout droit sorti de l’esprit « de Les Nuls » est une référence pour certaines répliques, et scènes d’anthologie. (« Oh je vais mourir deux fois ! »). Odile Deray, attachée de presse vient au festival de Cannes présenter un films sans succès. Un certain type d'humour et beaucoup d’autodérision.