Un teknival clandestin s'est tenu pendant 3 jours dans une ancienne mine d'or à Jumilhac-le-Grand, en Dordogne, non loin de la Corrèze. Si 10 000 fêtards étaient attendus, ils se seraient finalement retrouvés 4 000 selon les forces de l'ordre. Une jauge bien trop importante pour cette friche minière, un spot normalement interdit d'accès, car jugé trop dangereux.
Un teknival sur une friche minière interdite
Tous se sont donnés rendez-vous à Jumilhac-le Grand, une petite commune de Dordogne pour un festival de musique électronique. Pour accéder au site, les fêtards ont détruit des clôtures laissé accéder 900 véhicules sur un terrain communal interdit au public. Face à l'ampleur de la fête et du nombre de participants, 150 militaires ont été mobilisés pour procéder à des contrôles à chaque sortie et un hélicoptère de surveillance veillait à la sécurité de tous et notamment à dissuader les fêtards d’emprunter des chemins de traverse. Les routes autour, elles, ont été bloqués pour éviter à de nouveaux trublions de rejoindre le groupe.
Face au bruit important de l'évènement, plusieurs plaintes pour tapage ont déjà été déposées. Les riverains ont du s'armer de patience car la fête a duré jusqu'à ce lundi matin. Vaillants !