Bienvenue en enfer. Cette fois-ci, nul besoin de s'échouer sur C8 devant un Hanouna déguisé en pintade en train de plonger des coquillettes dans la culotte d'une pauvre chroniqueuse. Non, les relents viennent d'eux-mêmes face à l'affligeante pub du géant du bric-à-brac, GIFI.
Des idées de génie ? Si la recherche du buzz ultime coûte que coûte est à l'origine de cette blague, tant mieux. En attendant, c'est lourd, dégradant et particulièrement affligeant. On ne comprend pas bien ce que fait cette femme les jambes écartées sur un sofa, ni même à quel moment elle a consciemment accepté de jouer dans cette pub. On ne comprend pas bien ce que ce chauve fait accroupi devant elle, on ne comprend pas bien pourquoi ces gens jouent au loto sur leur téléphone. Non, on ne comprend pas bien. Quelle drôle d'idée.
On ne comprend pas non plus ce que fait la tête de Castaldi associée à cette campagne virale qui n'a ni queue ni tête, mais ça, c'est une autre histoire.
S'il vous plait, pardonnez-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Matthieu 6:12.
Merci Bravoloto.