Le Bonbon

Les régions Auvergne-Rhône-Alpes et PACA s'unissent pour accueillir les JO d'hiver 2030

Alerte olympique : Lyon et Marseille s'unissent pour une candidature gagnante aux Jeux olympiques d'hiver 2030 ! Les régions Auvergne-Rhône-Alpes et PACA ont décider de s'unir pour maximiser leurs chances d'accueillir les JO d'hiver 2023.

On vous en parlait déjà début 2022 lorsque le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, avait fait part de son ambition d'accueillir les Jeux Olympiques d'hiver 2030.  Si chaque région envisageait initialement de déposer un dossier séparé, l'une pour 2030, l'autre pour 2034 ou 2038, les deux régions ont décidé d'unir leurs forces pour proposer une candidature commune au Comité international olympique.

Les Alpes françaises, magnifiques et majestueuses, serviront alors de terrain de jeu pour ces jeux d'hiver d'exception. Mais pour rendre cette édition 2030 unique, les deux régions françaises imaginent des JO écoresponsables, favorisant les transitions dans le monde de la montagne et accessibles à tous, réchauffement climatique oblige. David Lappartient, président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), s'est réjoui de cette candidature prometteuse. Il voit en ces Jeux une formidable opportunité de prolonger l'élan des JO de Paris 2024 et de marquer l'histoire avec des événements sportifs mémorables.


© evgenii mitroshin / Shutterstock.com

Mais la concurrence s'annonce forcément rude ! D'autres villes et pays ont également montré leur intérêt pour accueillir les JO d'hiver 2030. C'est notamment le cas de la Suède, candidate malheureuse face à Milan pour les JO d'hiver 2026, et la ville américaine de Salt Lake City, déjà hôte en de l'évènement 2002. Quoiqu'il en soit, accueillir les JO d'hiver dans la région 38 ans après les JO d'Albertville de 1992 offrirait une tribune internationale à la richesse de notre territoire. Il s'agirait alors à de la 4e fois que la région reçoit ce rendez-vous, après Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et donc Albertville en 1992.