Le Bonbon

La ville la plus agréable à vivre dans le monde...est à 1h20 de Lyon

Située au pied des Alpes à un peu plus d'une heure de Lyon, Grenoble vient de décrocher la première place du classement des villes offrant la meilleure qualité de vie au monde, selon un sondage réalisé par Oxford Economics. Oui, vous avez bien lu, la capitale des Alpes devance des poids lourds comme Canberra en Australie, Bern en Suisse et même Bergen en Norvège. Et on est évidemment très perplexes...

Parmi les centaines de classement qu'on a vu défiler sous nos yeux, celui-ci est sans doute le plus surprenant de tous... D'après une étude menée par Oxford Economics, la ville iséroise de Grenoble sera tout simplement la plus agréable à vivre dans le monde. Et même si on adore nos voisins Grenoblois, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur ce résultat... 

L'étude met notamment en avant le cadre de vie exceptionnel, l'offre culturelle riche et variée, et la proximité inégalée avec les montagnes. Aussi bien adaptée aux mordus de ski, aux amoureux de randonnées ou aux férus de la nature, Grenoble semble avoir tout pour plaire selon le classement. Ajoutez à cela un tissu économique solide et une espérance de vie plus que respectable, et vous obtenez une recette gagnante. Pourtant, la capitale des Alpes se classée 187 (soit avant-dernière ville de plus de 100 000 habitants) dans le dernier classement des villes et villages de France où il fait bon vivre selon le JDD... 

Grenoble n'est d'ailleurs pas la seule ville française à briller dans ce classement. Nantes se hisse à une honorable dixième place, prouvant que la qualité de vie à la française a encore de beaux jours devant elle. Mais avant de courir à Grenoble pour y poser vos valises, sachez que le classement change un peu lorsqu'on ajoute d'autres critères comme l'environnement ou la gouvernance. Sur ces points, la ville dégringole à la 114e place mondiale. Pas de panique, elle reste tout de même dans le top 300 en termes d’environnement. Pas mal pour une ville industrielle !

Retrouvez l'étude détaillée d'Oxford Economics ici !