Souvenez-vous : il y a quelques mois, on vous vantait les mérites du célibat comme décuplement du bonheur. Une récente étude signée Meetic et s’intéressant à la santé mentale des célibataires vient confirmer tout ça. Résultat : sur 875 personnes de 18 à 64 ans interrogées, 73% d’entre elles se disent épanouies.
Les comptes insta de self-love explosent, les mentalités évoluent et on n’a jamais autant aimé prendre soin de sa santé mentale. Les Français prennent conscience de l’importance d’être bien seul avant d’être bien accompagné, et ça se ressent : selon la même étude, 35% des interrogés ont déjà mis fin à une relation pour faire un travail sur eux-mêmes.
Plaisir d'être seul, pression d'être à deux
Une manière de se prioriser et de s’écouter. On peut être célibataire et comblé, et les Islandais ont un nom pour ça : "Eingleði", "la joie d’être un", une invitation à profiter pleinement de sa tranquillité, de sa liberté, et de prendre soin de sa santé mentale. À noter toutefois qu’un célibataire sur deux, selon Meetic, ressent une pression sociale à se caser. La faute à une société qui valorise toujours les couples, leur rend plus facile l’accès à l’investissement locatif, culpabilise le célibat et nous fait croire qu’il faut être deux pour être heureux. Si vous en doutiez : c’est pas vrai.