Oui, Pierre Palmade se trouvait bel et bien en boîte de nuit ce week-end ! Hospitalisé depuis la fin du mois d'avril à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux, le comédien a vu son contrôle judiciaire allégé, les médecins ayant estimé qu'il n'avait plus besoin de s’y rendre en semaine. Et d’un point de vu légal, même s’il lui ait toujours interdit de conduire, d’entrer en contact avec les victimes ou de quitter la région de la Nouvelle-Aquitaine, Pierre Palmade est libre de ses mouvements...
L’humoriste de 54 ans est mis en examen pour « homicide et blessures involontaires », après avoir provoqué un grave accident de la route alors qu'il était sous l’emprise de stupéfiants, le vendredi 10 février dernier. La collision a fait 3 blessés graves et tué un bébé à naître.
Plusieurs images font polémiques
Depuis dimanche, plusieurs vidéos de la soirée diffusées et relayées en masse sur les réseaux sociaux ont créé la polémique. Notamment des images dévoilées par le compte Twitter @samvatkt, repris par le compte Instagram ShayaraTV, où l’on peut apercevoir Pierre Palmade s’amuser et discuter au coin fumeur d’une boîte de nuit bordelaise. La séquence de quelques secondes aurait été prise peu après 4h du matin.
L’établissement aurait toutefois nié et affirmé ne pas avoir reçu Pierre Palmade ce soir là, les images datant, selon les gérants, d’avant l’accident. Pourtant, une publication postée lors de la soirée sur Snapchat par le patron du club, montrant ce dernier aux côtés de l’humoriste, a également été relayée par ShayaraTV.
Une virée autorisée par son contrôle judiciaire
Malgré la polémique de cette virée nocturne, Pierre Palmade était dans son droit. Depuis ce début juin, son contrôle judiciaire a encore été allégé avec la fin de son hospitalisation. Le comédien peut se déplacer librement, au point même de se rendre en discothèque... d’autant plus qu’il avait bénéficié d’un premier assouplissement de son contrôle judiciaire début mai, lui permettant de sortir le week-end du CHU.
En revanche, son contrôle judiciaire l’oblige à poursuivre des soins pour ses problèmes d’addictions, et lui interdit d’entrer en contact avec les victimes, de prendre le volant et de quitter la région de la Nouvelle-Aquitaine.