Le Bonbon

Des chercheurs ont trouvé la meilleure astuce pour vaincre la mauvaise humeur

L’hiver ne touche pas encore à sa fin, et les petites déprimes sont assez fréquentes. Heureusement, des scientifiques américains ont mis au point une technique thérapeutique sans faille pour chasser les idées négatives.

Publiée le 3 janvier dernier dans le Journal of Clinical Psychology, une étude américaine démontre qu’il est possible de vaincre la mauvaise humeur avec une technique thérapeutique bien particulière.

616 cobayes

Ce sont des chercheurs de l’université de l'État de l’Ohio qui ont trouvé la solution miracle. Le principe ? Focaliser toute son énergie sur nos forces, plutôt que de se concentrer sur nos faiblesses et les combler. Mais concrètement, ça marche ou pas ?

L’étude a été réalisée sur 616 étudiants volontaires, tous rattachés au domaine de psychologie de l’université. De façon aléatoire, chacun a été testé sur deux approches différentes. La première étant l’approche cognitive, qui identifie et évalue les pensées négatives. La deuxième appelée “mindfulness”, où l’idée est de prendre conscience de ses pensées et de ses sentiments, sans faire la démarche de les changer.

Au revoir la déprime !

Pour réaliser cette étude, les participants ont dû être mis en conditions, c’est-à-dire, en état cafardeux. Dans un fond musical bien triste, avec Alexander Nevsky : Russia under the Mongolian Yoke de Prokofiev, on leur a demandé de penser à la mort d’un proche. Un succès sans faille pour être en mode déprime.

C’est quand tout le monde est bien “down” que le test peut commencer. Chaque étudiant a dû utiliser une des approches énoncées pour retrouver la joie de vivre. Et au final, est-ce que ça marche ?

Il semblerait que les cobayes ayant pensé à leurs points forts auraient vaincu la mauvaise humeur plus vite que les autres. Pas de grande différence entre les deux approches, puisqu'elles ont été toutes les deux jugées assez efficaces. Alors, prêts à chasser la petite dépression saisonnière ?

Au revoir la déprime !

Pour réaliser cette étude, les participants ont dû être mis en conditions, c’est-à-dire, en état cafardeux. Dans un fond musical bien triste, avec Alexander Nevsky : Russia under the Mongolian Yoke de Prokofiev, on leur a demandé de penser à la mort d’un proche. Un succès sans faille pour être en mode déprime.