Le Bonbon

Ces 8 objets complètement fous retrouvés dans le métro parisien

On le sait, dans le métro, il suffit parfois d’une seconde d’inattention pour laisser derrière soi un sac, une valise, un écouteur sans fil ou un bouquet de fleurs. Il arrive cependant que les objets laissés derrière eux par les Parisiens pressés ou les touristes étourdis soient un tout petit peu plus originaux. On vous propose donc de découvrir un top des choses les plus folles qui y ont été retrouvées.

Il y a quelques semaines on vous racontait, non sans une certaine émotion, l’histoire de ce crabe égaré qui avait été aperçu dans le métro. Et si une telle présence sur le réseau a pu en surprendre plus d’un, elle est pourtant loin d’être la chose la plus folle rencontrée dans les couloirs de la RATP. Et vu les objets qu’on s’apprête à vous dévoiler, dans certains cas, difficile de croire qu’il s’agisse uniquement d’une question de fatigue, d’inattention, ou de soirée un peu trop arrosée.


Le métro, une véritable caverne d’Ali Baba

Il est déjà arrivé à la plupart d’entre nous de laisser dans le métro un trousseau de clefs, ou un pass Navigo. C’est pourquoi chaque jour, la RATP récolte plus de 1300 objets perdus. Un nombre astronomique, qui est principalement constitué de casquettes ou de parapluies. Mais, parfois, au cours de leur check de fin de service, les agents et conducteurs sont amenés à faire des découvertes pas comme les autres. C’est ainsi qu’ont, un jour, été trouvés :

Une cornemuse. Sans doute un musicien qui avait décidé de switcher l’éternel accordéon contre quelque chose d’un peu plus original. Visiblement, il n’a pas été convaincu.

Une paire de skis. La rumeur raconte que le voyageur se rendait tout en haut du Sacré-Cœur en hiver. Il serait descendu sur les fesses.

Une jambe de bois. Bon, là, à part un déguisement de pirate qui aurait mal tourné en fin de soirée, on avoue qu’on a un peu de mal à comprendre.

Un coucou suisse. Pour une personne qui avait tellement peur d’être en retard qu’elle a fini par sortir en courant. Sans sa précieuse horloge.

Un crâne d'alligator. Pour celui-ci, on n’a pas vraiment d’explication logique. Mais il faudra mettre le propriétaire en contact avec l’homme qui se baladait avec des iguanes dans les chaussettes

Une robe de mariée. On imagine la scène d’ici : elle a fui l’église, il l’attendait avec une valise au coin de la rue. Elle a laissé toute trace menant jusqu'à elle dans le métro.

Des dentiers. Sans doute une petite mamie qui s’est mise à zouker dans la rame au rythme du musicien à la cornemuse (cf. plus haut), et qui n’aurait même pas remarqué que sa paire de rechange était tombée de son sac.

Une urne funéraire. Pleine. Peut-être une jeune femme qui aurait “malencontreusement” oublié les cendres de sa belle-mère. Miiiiince…


Les objets trouvés, ça devient quoi ?

Et si, demain, c’est vous qui oubliez votre combinaison en latex SM (oui, ça fait aussi partie de la liste) dans le métro, comment la récupérer ? C’est bien simple, dans un premier temps, vous pouvez remplir une déclaration à un guichet RATP, ou en ligne. Si votre combi est retrouvée, vous en serez informé au plus vite, et pourrez la récupérer à l’endroit indiqué pour vous adonner aux activités de votre choix.

Si, cependant, vous ne remplissez pas de demande, ou êtes trop honteux pour aller récupérer votre tenue peu commune, celle-ci sera alors envoyée, au bout de 48h, au service des objets trouvés de la préfecture de Paris, où, rebelote, vous devrez déposer une déclaration avant de récupérer votre bien. Sans démarche de votre part, votre combi en similicuir sera donc conservée 18 mois (et pas un jour de plus), avant d’être revendue, donnée à une association, ou jetée. Mais bon, même si maintenant, vous savez tout sur la manière de récupérer vos biens personnels, on vous conseille tout de même de simplement faire attention en descendant du métro.